Frédéric Brrémaud
Né en 1973 à Séoul, Frédéric Brrémaud a d'abord étudié en Guyane, en Angleterre et à La Rochelle avant d'atterir un beau jour au festival d'Angoulême où il va rencontrer ses compagnons de route dans le petit monde de la bd. De sa jeunesse globe-trotteuse se dégage dans ses ouvrages un exotisme et un humour chaleureux rares dans le climat actuel de la bd.
Commençons par votre pseudo, le deuxième 'R' à Brrémaud, c'est un rajout personnel ?
Oui et non. J'ai fait un pari et j'ai perdu. Mais en même temps, ça donne à mon nom ce qu'il est vraiment, un dérivé franco-tchèque.
L'humour est assez présent dans vos séries, que ce soit pour les gags de Bamboo ou vos séries plus sérieuses. Pensez-vous que la bd soit avant tout un moyen de divertissement et de détente ?
Oui, la bd est un moyen de divertissement mais le champ d'action de la bd en général est tellement large que ça dépend. Il y a de tout, sur tout, pour tous les âges et c’est très bien ainsi. La bd peut être utilisée pour véhiculer des messages, et pour informer. Sur une situation, un graphisme, ou quelque chose de plus terre à terre encore, une maladie par exemple. La bd est aussi un moyen génial pour initier à la lecture. Personnellement, j’ai appris l’italien, tout d’abord en lisant Topolino, puis Tex, des fumetti italiens où les textes sont forcément liés au dessin. Ça m’a vraiment aidé.
Comment sont composées vos journées ?
Ca dépend. Mais c'est rarement la même chose. En principe je me lève, je vais nager avec les dauphins et je rentre. Quand un dessinateur veut une page, je la lui dicte au téléphone. Les grandes lignes et sans préciser les angles de vue pour qu’il ait sa liberté.
Faites-vous autre chose que de la bd ?
Oui et non. J'ai fait un pari et j'ai perdu. Mais en même temps, ça donne à mon nom ce qu'il est vraiment, un dérivé franco-tchèque.
L'humour est assez présent dans vos séries, que ce soit pour les gags de Bamboo ou vos séries plus sérieuses. Pensez-vous que la bd soit avant tout un moyen de divertissement et de détente ?
Oui, la bd est un moyen de divertissement mais le champ d'action de la bd en général est tellement large que ça dépend. Il y a de tout, sur tout, pour tous les âges et c’est très bien ainsi. La bd peut être utilisée pour véhiculer des messages, et pour informer. Sur une situation, un graphisme, ou quelque chose de plus terre à terre encore, une maladie par exemple. La bd est aussi un moyen génial pour initier à la lecture. Personnellement, j’ai appris l’italien, tout d’abord en lisant Topolino, puis Tex, des fumetti italiens où les textes sont forcément liés au dessin. Ça m’a vraiment aidé.
Comment sont composées vos journées ?
Ca dépend. Mais c'est rarement la même chose. En principe je me lève, je vais nager avec les dauphins et je rentre. Quand un dessinateur veut une page, je la lui dicte au téléphone. Les grandes lignes et sans préciser les angles de vue pour qu’il ait sa liberté.
Faites-vous autre chose que de la bd ?
Je ne pense pas avoir fait une dédicace sans que quelqu’un ne m’ait posé la même question : Et autrement, vous faites quoi comme métier ? Ceci dit, depuis quelque temps, je traduis des textes ou des bd italiennes, espagnoles et anglaises en français pour des éditeurs français. J’aime beaucoup ça. Ça m’amuse de bidouiller des dialogues sans les avoir pensé initialement.
J’écris aussi pour le cinéma et le dessin animé en France et en Italie, mais c’est tout nouveau. On verra bien de ce côté-là.
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